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la corderie entre parenthèses
Depuis un mois j’ai ouvert une parenthèse à l’intérieur de la « paparenthèse paparentale ». Depuis cette pièce de la corderie, ouverte sur le dehors mais fermée de l’intérieur, où résonnent des voix d’enfants et le bruit du monde extérieur, j’écris hors ligne ce qui sera peut-être lu plus tard, ici ou ailleurs. Dans cette pièce dédiée à ce projet d’écriture, je parviens depuis peu à me défaire du rythme de la publication en ligne que je m’étais imposé jusque-là et parviens à mieux équilibrer temps de l’écriture et temps de la relecture ; là, dans cette pièce où je cherche à contrer cette course solitaire et un peu vaine contre la montre, j’ai décidé de ne plus alimenter le tambour, celui où des satellites tournent trop souvent autour d’un même noyau, dans le vide.
Si les autres projets sur déboîtements poursuivent leur route comme avant, la corderie (« paparenthèse paparentale » incluse), le temps des travaux d’intérieur, n’est donc plus ouverte au public exception faite pour les notes publiées jusqu’ici et qui elles aussi seront reprises hors ligne avant la fin de mon congé parental en août 2015.
Merci à celles et ceux qui ont poussé la porte de la corderie lorsqu’elle était encore entrouverte.
La corderie, atelier de fabrication de ficelles, de câbles et de cordes, a ouvert ses portes au public le 17 août 2013 et les a refermées, le temps des travaux d’intérieur, le 30 septembre 2014.
écrit ou proposé par Christophe Grossi - @christogrossi
(site sous licence Creative Commons BY-NC-SA)
première mise en ligne
et dernière modification le mardi 30 septembre 2014